A. Túri Zsuzsa: Frêle oiseau (Madárhangon Francia nyelven)
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Madárhangon (Magyar)Vadászkastély. A kertkapu zárva. Az őr keresztrejtvényt fejtve várja, hogy csöngessen már valaki végre, kit beenged s leültet egy székre, kivel beszélgethet is talán egy kicsit addig míg odafent egy nővér majd kinyit egy ablakot, s lekiált: „Hé, mondd, sokan vannak ott? Kezdődik a látogatás, gyorsan, küldd fel őket, egymás után sorban, de ne egyszerre, Ferikém, kedves, nyitva már az elsőn a százkettes!”
És nyílik a kapu. Engednek. Belépek. Lárvaszerű arcok itt-ott: dermedt képek. Márványlépcső. Visszhang. Csendesek a termek. Itt az időspirál Átfordul, megdermed.
A százkettes... (Sóhaj). Dideregve látom, ahogy ül mereven a rácsos vaságyon. Ráncos arc. (Fáj a csend). Kihúnyt szemekben kékség. Beszélnék, de elnémít a kétség. Mosolyog. (Mit nézhet mögöttem? Érti-e, hol van s én miért jöttem?)
Valaha madárhangon kacagott, és dallal köszöntötte a napot, turbékolt a nevetése : senki azóta sem tudott így nevetni...
Sokáig azt hittem visszatérhet, nem másolat ő, nem is kísértet, furcsa lét, azt mondták jöjjek, hátha ráismer rajtam a zöld kabátra, hisz övé volt valamikor régen, megismeri a hangom, a léptem, így is lett, (vánkosa fehérlett), rámnézett és lepergett az élet, visszafelé sodródva egy kába rég elsüllyedt, újraszült világba, gyógyszerek közt ülve bábu-testtel felém nyúlt kiszáradt ág-kezekkel: „Életem, a tanulás mondd, hogy megy? Végülis az iskola, az mindegy, mikor mész már végre férjhez, azt mondd, senki sem akar öreg menyasszonyt!”
Azt mondta az orvos, hogy nem szabad szólni, hogy a szívem majd megszakad, nagyanyám már repdes az időben, ifjú leányt lát a felnőtt nőben, saját sorsát füstként, gomolyogva ráfújva az üres mosolyokra, s ha egy-egy arc néha beszivárog megzavarva ezt a torz világot, nem szabad az igazságra vágyva javítgatni, mert úgyis hiába...
Távolodik. Teste, mint a kígyó: rejtőzködő, önmagát szorító, távolodik, átszáll időn-téren, s eszembe jut, hogy valaha, régen, mikor engem feszített a bánat tündérmesékből szőtt nekem sálat, örökkévaló volt minden játék, bújócskázni hívott minden árnyék, s nevetése tiszta dallamára nőttem föl, csak a szépet látva...
Most az ág-kéz, meg a bárgyú mosoly. Neki tán szabadság, nekem pokol. Homályos az üvegfal közöttünk, így kell egymástól hát elköszönnünk?
A ragaszkodásnak nincs alakja. Csak testének az ágyhoz ragadva, s hajának, a füléhez tapadva...
Rézsútosan hullva a falakra az ablakból nyeszlett fény szivárog, mixel több párhuzamos világot, ő csak ül, a szája félig tátva, ő csak néz, de mintha mást látna, szemében üresség, halál, árnyék, nincs többé az, kihez visszajárnék, büntetés ez, hogy itt van, bezárva, az elmúlással így szembeszállva feleslegesen... Börtöncella ez, s benne ő, árva. Akárcsak én, ágya előtt állva. Nemsoká elköltözik a mélybe, kínok ütemére, a lágy éjbe, érintés nélkül híg a szeretet, mennék, de fogom az ág-kezeket. (Zuhanunk együtt, a fal meredek, fázom, bennem kristályos csend remeg...)
Aztán csak megyek, lassanként leszáll az este. Mondogatom halkan: „csak a teste” van odabent, hervadásba halva, lelke messze gurult, mint egy alma, erős leszek, hajnal-szülte álom, a léten túl újra megtalálom azt ki volt. Nem kell csoda, varázslat, ragaszkodás kell, emlék, alázat. Valahol vár. Nem tűnt el örökre... Megnyugszom. És nem vágyom most többre.
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Frêle oiseau (Francia)Château de chasse. Le portail du parc est fermé. Le garde attend, devant ses mots fléchés pour que quelqu’un sonne enfin à la porte, qu’il ouvrirait vite, qui c’est, peu importe, il pourrait l’inviter de s’asseoir, discuter avant que l’infirmière rompe la tranquillité en ouvrant une fenêtre à l’étage et crie fort: « Hé, François, il y a beaucoup de monde dehors? Envoie-les, l’un après l’autre très vite, la chambre cent-deux est ouverte pour les visites! »
Et la porte s'ouvre. J'entre. Il y a peu de bruit. Visages de larves partout. C’est sinistre, comme la nuit. Escalier en marbre. Échos. Les chambres sont pleines d’ombres. Le temps qui reste est sans but, tout se fige et s’effondre…
La chambre cent-deux… (Soupir).
Je frissonne quand je la vois assise, raide, sur un lit à barreaux. Je reste sans voix. Ses yeux bleus ne brillent plus. (Le silence me fait mal). Elle sourit bêtement, son visage est ridé, pâle. (Je suis perdue. Comment va-t-elle cette fois? Je me demande ce qu’elle regarde derrière moi?)
Autrefois, en riant elle chantait comme les oiseaux, je n’ai jamais entendu un rire aussi beau. Je n’ai jamais connu une voix aussi belle, qui me faisait danser et me donnait des ailes.
J’avoue, je pensais longtemps que le feu pourrait se rallumer dans ses yeux, elle n’est pas un fantôme, c’est juste une pause elle pourrait reconnaître quelqu’un ou quelque chose comme ce manteau vert sur moi qui était à elle autrefois. Elle se souviendrait de mon visage, de mes pas… Et, en effet, elle a pris mon bras. (Son oreiller était blanc) Le présent derrière et le passé devant elle plongeait lentement dans un fleuve d´images en voyant des souvenirs, des visages d’un autre âge. Assise, petite poupée, avec ses doigts maigres comme des branches, elle m’avait secouée oubliant ses souffrances, « Ma fleur d’or, dis-moi, maintenant que j’y pense, tout va bien à l’école ? Bon. Ça n’a pas d’importance ! Il faut te marier, fonder une famille, le temps passe et personne ne voudrait une vieille fille ! »
Son médecin m’a dit que je devrais être patiente ne pas dire que mon cœur chavire, que tout me désoriente: ma grand-mère voltige depuis un bon moment dans le temps, voit une jeune fille en moi, ce n’est pas important, elle souffle son propre destin, comme de la fumée sur des sourires vides, narquois, réprimés, si un visage lui dit quelque chose parfois et la perturbe, l’anime, personne ne doit la corriger, en voulant la vérité c’est inutile et tue la spontanéité.
Elle s’éloigne de la vie. Comme un serpent, passe et repasse, se tortille ou se cache dans le temps et l’espace. Pourtant naguère quand j’étais triste, elle essuyait mes pleurs, dans un monde de contes de fée, effaçait mes douleurs, en jouant, quelle vie magique était la nôtre en voyageant d’un univers secret à un autre! J’ai grandi en chantant, en dansant, en riant, depuis je cherche toujours une existence tout aussi brillante.
Maintenant il ne reste que ces bras, comme des branches, ce sourire idiot et sa tête qui se penche, mais peut-être elle est libre, peut-être pour elle c’est mieux d’être déjà ailleurs, se dire ainsi adieu.
L’amour n’a aucune forme. C’est abstrait. C’est caché. Ce que l’on peut voir : c’est une vie gâchée.
Parmi ces murs c’est dans les normes : dans la lumière lugubre, grise et morne tellement de mélanges de mondes parallèles, des épaves humaines, négligées, comme elle. Mes visites sont vaines, en plus angoissantes, me renvoyant à mes peurs glaçantes, c’est une prison, une cage ce lieu, ma grand-mère a la mort déjà dans ses yeux. Je suis prisonnière moi-même en revenant, en rêvant de l’été en l’hiver permanent en cherchant quelqu’un d’autre : c’est presque une inconnue au seuil des ténèbres qu’elle est devenue. Je sais aussi qu’ il ne faut plus me voiler la face, elle ne changera plus et partira quoi que je fasse. Malgré tout je tiens sa main obstinement, j’ai beau me dire que pour oublier il faudrait du temps. Y a-t-il une solution ? Quelle science pourrait effacer ce sentiment d’impuissance ? (Je sens que nous tombons entre des murs étroits, j’ai froid, un silence cristallin tremble en moi).
Puis je m’en vais. La nuit tombe. « C’est seulement son corps » -me dis-je. En sachant qu’elle est proche de la mort. J’imagine, comme une pomme, son âme rouler loin, je sais que je serai forte, Dieu est mon témoin. Je la retrouverai au-delà de l’existence, dans un monde fait de rêves, souvenirs, chants et danses.. Elle n’est partie pour toujours, elle m’attend quelque part. Je me calme tout doucement. Et enfin ma vie repart.
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